Description du livre
Ce récit publié en 1836 est devenu le grand classique des contes de nécrophilie.
Il met en scène, à travers la passion de l'abbé Romuald pour la splendide et troublante Clarimonde, le rêve de Beauté idéale, celui-là même qui hantait le « bon Théo », miné par la conscience douloureuse du caractère éphémère de cette Beauté.
Texte lu par Bernard Petit