Description du livre
  
                           
                          
              
                               « J'écris cela au début d'un siècle, n'importe lequel, de quelque part en France. Il a gelé la nuit dernière, nous verrons à la Pentecôte, peut-être avant, si les rosiers auront résisté. J'ai retrouvé le pull-over rouge que la femme du Duc avait tricoté pour Stéphane. Je ne prendrai pas froid. Ma mère m'appelle  mon grand . Plus rien ne presse. »
  
  Le dernier volet du Journal de Pascal Sevran, commencé avec l'immense succès de La Vie sans lui.
  
  
  « Des phrases ciselées, des mots essentiels, des aphorismes qu'on aurait aimé avoir trouvés avant lui. »
  Maryvonne Ollivry, Madame Figaro
  
  « Ceux qui savent aimer à ce degré rendent le monde meilleur. »
  Christine Arnothy, Le Parisien
  
  « Depuis combien de temps n'avait-on pas dit avec des mots aussi justes le vide de l'absence ? La plume ne tremble pas sous le coup de l'émotion. Pascal Sevran montre une rare maîtrise du journal intime. »
  François Dufay, Le Point
  
  « Le sens de la maxime à la Chardonne, la vivacité d'esprit à la Morand. Un constant régal. Un genre superbement dominé. »
  Gilles Pudlowski, Le Point
  
  « Il faut du style pour exprimer cette nostalgie qui va de l'avant. J'appelle cela de la littérature. »
  Yann Moix, Elle
  
  « Dans les bibliothèques, Sevran figurera parmi les plumes les plus brillantes près de Morand, Jules Renard ou Léautaud. »
  Jérôme Béglé, Paris-Match